
Toutefois, s’est demandé le patron du Groupe Avenir Communication: « Ignore-t-il que des preuves et autres témoignages vidéo de père, mère, frères et sœurs, ainsi que «le corps du délit» ont déjà pu circuler ? Le Sénégal ne devrait point mériter de tomber entre de telles mains. C’est pourquoi on peut être d’avis que les déboires de Yaw procèdent d’une justice immanente. La main de Dieu n’est pas loin de tout ce qui se joue sous nos yeux ».
Dans son texte paru sur lequotien.sn, Madiambal Diagne déclare qu’il ne s’est « jamais trompé sur le personnage Ousmane Sonko », soulignant d’ailleurs avoir déjà mis en exergue « son immaturité, son côté puéril, son comportement arrogant et sa propension au mensonge ».
Car, a-t-il expliqué, « les accusations d’abus sexuels portées en février 2021 contre lui par la dame Adji Sarr, avec leurs lots de révélations continues et pour lesquelles Ousmane Sonko éprouve toutes les peines à s’expliquer, devraient le disqualifier pour prétendre à la fonction présidentielle ».
A ce titre, il se demande : « Quel peuple accepterait cette fatalité d’être gouverné par un chef d’Etat dont les photos et vidéos de ses ébats sexuels, de son anatomie intime, sont dans les smartphones de tous ses concitoyens ? ».
M. Diagne accuse, par ailleurs, le député d’avoir « renforcé la zizanie dans les rangs de sa coalition en se faisant un malin plaisir de raconter aux autres les médisances qu’aurait faites Khalifa Sall sur leur compte pour justifier leurs mauvaises places sur les listes d’investitures ».
Avec Senenews.com